https://twitter.com/a_meluzzi/status/1305389435685609473?s=20
http://www.francesoir.fr/amp/article/opinions-tribunes-politique-monde/message-dalerte-international-de-professionnels-de-sante-aux?
"Nous ne sommes pas seuls à protester contre les mesures médicalement
stupides et inefficaces, socialement et économiquement suicidaires que
les gouvernements ont imposé aux peuples sous prétexte sanitaire. Une
union mondiale des professionnels de santé s’est créée et lance cet
appel très complet qu’il faut diffuser autant que possible :
STOP : à la terreur, à la folie, à la manipulation, à la dictature, aux mensonges et à la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle.
Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde (liste à la fin de l'article qui croit de minutes en minutes) :
1 - Nous disons : STOP à toutes les mesures folles et
disproportionnées qui ont été prises depuis le début pour lutter contre
le SARS-CoV-2 (confinement, blocage de l’économie et de
l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc) car
elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune
preuve scientifique et elles violent les principes de base de la
médecine basée sur les preuves. Par contre, nous soutenons bien sûr les
mesures raisonnables comme les recommandations de lavage des mains,
d’éternuer ou de tousser dans son coude, utiliser un mouchoir à usage
unique, etc.
Ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau
virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en
2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face
tous les ans au virus de la grippe saisonnière. Pourtant, aucune des
mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là.
2 - On nous dit :«
Mais, le SARS-CoV-2 est très contagieux » et nous répondons : C’EST FAUX.
Cette affirmation est d’ailleurs rejetée par des experts de renommée
internationale. Une simple comparaison avec les autres virus permet de
constater que la contagiosité du SARS-CoV-2 est modérée2,3. Ce sont des
maladies comme la rougeole qui peuvent être qualifiées de très
contagieuses. Par exemple, une personne atteinte de rougeole peut
infecter jusqu’à 20 personnes alors qu’une personne infectée par ce
coronavirus n’en contamine que 2 ou 3, soit : 10 fois moins que la
rougeole.
3 - « Mais, c’est un virus nouveau» et nous répondons : H1N1
et les autres virus qu’on a cités était aussi des virus nouveaux.
Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué
l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas
fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de
porter des masques.
De plus, certains experts disent qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant mais qu’on s’en est pas rendu compte.
4 -« Mais, on n’a pas de vaccin» et nous répondons :
au début de l’H1N1 on n’avait pas non plus de vaccin, comme à l’époque
du SARS-CoV. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué
l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas
fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de
porter des masques.
5 - « Mais, ce virus est beaucoup plus mortel » et nous répondons : C’EST FAUX.
Car rien que comparé à la grippe et si on prend en compte la période
entre le 1er Novembre et le 31 Mars, il y a eu au niveau mondial
-lorsque ces mesures ont été prises- : 860,000 cas et 40,000 morts alors
que la grippe dans la même période de 5 mois infecte, en moyenne, 420
millions de personnes et en tue 270,000. De plus, le taux de létalité
annoncé par l’OMS (3,4%) était largement surestimé et était rejeté dès
le début par d’éminents experts en épidémiologie
. Mais, même en prenant ce taux de létalité, on constate que ce
coronavirus est trois fois moins mortel que celui de 2003 (10%) et 10
fois moins mortel que celui de 2012 (35%).
6 -
«Mais, la COVID-19 est une maladie grave» et nous répondons : C’EST FAUX. Le
SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale car il donne
85% de formes bénignes, 99% des sujets infectés guérissent, il ne
constitue pas un danger pour les femmes enceintes ainsi que les enfants
(contrairement à la grippe), il se propage moins rapidement que la
grippe6 et 90% des personnes décédées sont des personnes âgées (qui
doivent, bien sûr, être protégées comme les autres populations à
risque). C’est pour cela que des experts ont qualifié de «délire»
l’affirmation que c’est une maladie grave et ont affirmé, le 19 Août
dernier, que «ce n’est pas pire que la grippe»
.-«
Mais, il y a des personnes asymptomatiques» et
nous répondons : dans la grippe aussi, 77% des sujets infectés sont
asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre le virus
. Pourtant : on ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter
des masques et on ne fait pas de distanciation sociale malgré que le
grippe infecte 1 milliard de personnes et en tue 650,000.
7 - «
Mais, ce virus entraîne une saturation des hôpitaux» et nous répondons : C’EST FAUX.
La saturation ne concerne que quelques hôpitaux mais on fait croire
aux gens que tout le système hospitalier est saturé ou que la saturation
est imminente alors qu’il y a des milliers d’hôpitaux dans certains
pays. Est-il raisonnable et vrai d’attribuer, par exemple, à 1000 ou
2000 hôpitaux une situation qui ne concerne que 4 ou 5 hôpitaux ? Rien
d’étonnant, aussi, au fait que certains hôpitaux soient saturés car il
s’agissait de foyers épidémiques (comme la Lombardie en Italie ou
New-York aux USA). Il ne faut pas oublier que les hôpitaux de beaucoup
de pays ont été submergés (y compris les soins intensifs) lors de
précédentes épidémies de grippe et qu’à cette époque, on parlait même de
: "tsunami" de patients dans les hôpitaux, "d’hôpitaux saturés", de
tentes érigées à l'extérieur des hôpitaux, de "zones de guerre",
"d’hôpitaux effondrés" et d’un "état d'urgence". Et pourtant : on n’a
pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas
paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale
et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.
8 -
Nous disons : STOP à ces mesures folles à cause, aussi,
de leurs conséquences catastrophiques qui ont déjà commencé à apparaître
: suicide de gens angoissés comme ça été rapporté en Chine,
développement de pathologies psychiatriques, paralysie du parcours
éducatif des élèves et des étudiants à l’université, impacts négatifs et
dangers sur les animaux, négligence des autres maladies (surtout
chroniques) et augmentation de leur mortalité, augmentation des
violences conjugales, pertes économiques, chômage, crise économique
majeure (peu de gens savent que la crise économique de 2007-2008 a
entraîné le suicide d’au moins 13,000 personnes rien qu’en Europe et en
Amérique du Nord), graves conséquences sur l’agriculture,
déstabilisation des pays et de la paix sociale et risque de
déclenchement de guerres.
Un editorial publié dans l’European Journal Of Clinical
Investigation a dénoncé, dès le début, les méfaits : des mesures
extrêmes prises non fondées sur des preuves, des informations exagérées
sur la dangerosité réelle du virus et des fake news propagées (y compris
par des grandes revues). Certains ont même comparé cette pandémie à la
celle de la grippe de 1918, ce qui est un MENSONGE et une manipulation
puisqu’elle a tué 50 millions de personnes, ce qui n’a absolument rien à
voir avec le nombre de morts de ce coronavirus.
9 -.
Nous REFUSONS l’obligation des applications de traçage des contacts
comme c’est le cas dans certains pays car le SARS-CoV-2 est un virus
bénin qui ne justifie pas une telle mesure. D’ailleurs, selon les
recommandations internationales et quelle que soit la sévérité d’une
pandémie (modérée, élevée, très élevée), le traçage des contacts n’est
pas recommandé. Lors des épidémies de grippe, faisons-nous un traçage
des contacts ? Pourtant, le virus de la grippe infecte beaucoup plus de
gens et comporte plus de populations à risque que ce coronavirus.
10 -
Nous disons : STOP à la censure des experts et des professionnels de santé pour leur empêcher de dire la vérité (surtout dans les pays qui se disent démocratiques).
11 -
Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent
l’inclusion des dépistages dans le comptage des cas, même si les sujets
sont bien portants et asymptomatiques.
Ceci a abouti à une surestimation des cas. On rappelle que la
définition d’un cas en épidémiologie est : «la survenue de nombreuses
issues possibles : maladies, complications, séquelles, décès. Dans la
surveillance dite syndromique, on définit comme cas la survenue
d’évènements non spécifiques tels que des groupements de symptômes ou
des motifs de recours aux soins, hospitalisations, appels de services
d’urgence». Nous disons donc : il faut séparer les dépistages des cas et
il faut arrêter de les mélanger.
12 -
Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent le fait
qu’aucune distinction n’est faite entre les personnes mortes du virus
et les personnes mortes avec le virus
(avec des co-morbidités), le fait que la cause du décès soit imputée
au SARS-CoV-2 sans test ni autopsie et que des médecins soit mis sous
pression pour que la COVID19 soit marquée comme cause de décès, même si
le patient est décédé d’autre chose. Ceci aboutit à une surestimation du
nombre de morts et constitue une manipulation scandaleuse des chiffres
car au cours des épidémies de grippe saisonnière par exemple, on ne
travaille pas de cette façon. D’autant plus que 20% des patients COVID
sont co-infectés par d’autres virus respiratoires aussi12
. Après réévaluation, seuls 12% des certificats de décès dans un pays
européen13 ont montré une causalité directe du coronavirus. Dans un
autre pays européen, les professeurs Yoon Loke et Carl Heneghan ont
montré qu'un patient qui a été testé positif mais traité avec succès
puis sorti de l'hôpital, sera toujours compté comme un décès COVID même
s'il a eu une crise cardiaque ou a été fauché par un bus trois mois plus
tard. Le directeur du CDC (Centers for Disease Control and Prevention)
d’un pays en Amérique du Nord a reconnu, le 31 Juillet, que des hôpitaux
avaient bien une incitation financière perverse à gonfler les chiffres
de décès dus au coronavirus.
13 - Nous partageons l’avis des experts qui ont
mis en garde contre l’intubation quasi systématique de certains patients, due à la peur folle du virus. Il faut que les protocoles soient modifiés car ils ont abouti à un nombre élevé de morts.
14 - Nous disons qu’il est important
qu’une révision des performances analytiques et cliniques des tests mis sur le marché soit faite,
y compris les tests virologiques. Beaucoup de kits sont utilisés
actuellement alors qu’une partie importante de leurs performances (par
exemple : la spécificité analytique, surtout pour les quatre coronavirus
saisonniers) n’a pas été évaluée, ce qui est grave car en plus des cas
de faux négatifs, la littérature rapporte des faux positifs inquiétants,
ce qui peut surestimer le nombre de cas et de morts. Selon un
professeur de microbiologie, le taux de faux positifs peut atteindre
20%. Certains articles scientifiques qui rapportent ces cas de faux
positifs ont été censurés
15 -
Nous disons donc : STOP à l’obligation des tests de dépistage à cause de ce manque de fiabilité et
du manque de vérification de leurs performances et parce que rien dans
ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité
faible) ne le justifie. Comme nous l’avons dit : la grippe infecte
chaque année 1 milliard de personnes, soit : 30 fois plus que le
SARS-CoV-2 et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.
16 - Nous disons aux citoyens : n’ayez pas peur, ce
virus est bénin sauf si vous faites partie des populations à risque. Si
les chaînes de télévision font la même chose avec la grippe, les
chiffres seront beaucoup plus élevés que pour le coronavirus ! La
télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 3 millions de cas et
2,000 morts de grippe. Et pour la tuberculose, la télévision vous
rapportera chaque jour en moyenne : 30,000 cas et 5,000 morts. En effet,
le virus de la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes et
en tue 650,000 et la tuberculose infecte chaque année 10,4 millions et
tue 1,8 million de personnes. De plus, à la TV on vous parle de « cas »
alors qu’il s’agit de dépistages et non pas de cas. Un article
scientifique, SARS-CoV-2 : fear versus data (SARS-CoV-2 : peur versus
données), publié dans l’International Journal of Antimicrobial Agents, a
démontré
que le danger du virus était surestimé et que la peur pourrait être plus dangereuse que le virus lui-même.
17 -
Nous disons aux citoyens : le lavage des mains est un réflexe qu’on doit avoir tout au long de notre vie, qu’il y ait le coronavirus ou pas, car c’est la mesure d’hygiène la plus efficace. Mais
,
porter un masque lorsqu’on n’est pas malade et pratiquer la
distanciation sociale, ça ne fait pas partie de l’hygiène ou de la
préservation de la santé publique mais c’est de la folie.
Porter un masque longtemps comporte plusieurs effets indésirables pour
votre santé16 et le transforme en nid à microbes. "Le virus peut se
concentrer dans le masque et lorsque vous l'enlevez, le virus peut être
transféré dans vos mains et ainsi se propager", a déclaré le Docteur
Anders Tegnell, épidémiologiste. Lorsqu'on lui a demandé si les gens se
mettaient plus en danger en portant des masques, le Docteur Jenny
Harries a répondu : «En raison de ces problèmes de manipulation [des
masques], les gens peuvent se mettre plus en danger». Même les dentistes
ont récemment mis en garde contre les effets graves sur la santé
bucco-dentaire car ils constatent que le port de masque de façon
prolongée entraîne des maladies telles que des caries, des maladies
parodontales ou une très mauvaise haleine. «Nous voyons beaucoup de gens
avec plus d'inflammation, plus de caries et de maladies des
gencives…Nous constatons une inflammation des gencives des gens qui sont
en bonne santé depuis toujours et des caries chez des personnes qui
n'en ont jamais eu auparavant… Environ 50% de nos patients sont impactés
par cela», déclare le Docteur Rob Ramondi, un dentiste. « Les gens ont
tendance à respirer par la bouche plutôt que par le nez lorsqu'ils
portent un masque…La respiration buccale provoque la sécheresse de la
bouche, ce qui entraîne une diminution de la salive. La salive est ce
qui combat les bactéries et nettoie vos dents…Les patients nous disent :
‘Wow, mon haleine sent, j'ai besoin d'un nettoyage’. [Mais] quand vous
avez une mauvaise haleine, soit vous avez déjà une maladie parodontale,
soit vous avez beaucoup de bactéries sur votre langue à cause de la
bouche sèche…Les maladies des gencives -ou les maladies parodontales-
entraîneront éventuellement des accidents vasculaires cérébraux et un
risque accru de crise cardiaque », explique le Docteur Marc Sclafani, un
autre dentiste. De plus, beaucoup d’entre vous se plaignent de ces
masques, surtout dans cette période estivale. Vous devez savoir que la
bouche et le nez ne sont pas faits pour être obstrués. Ce que vous
portez est un masque, en apparence mais une muselière de votre liberté,
en réalité. D’autant plus que, comme le disent plusieurs experts dont le
Professeur Yoram Lass, l’épidémie est terminée dans la majorité des
pays et ceux qui vous disent le contraire sont des MENTEURS.
En vous disant que l’épidémie n’est pas terminée, en brandissant la
menace d’une 2e vague (qui ne repose sur aucune preuve), en vous
demandant de porter un masque et de faire de la distanciation sociale,
le but est, en fait, de prolonger la peur jusqu’à la fabrication d’un
vaccin et pour qu’il soit mieux accepté par vous.
18 - Nous disons aux compagnies aériennes
: plusieurs études
scientifiques ont montré un lien entre l’excès d’hygiène et le
développement de maladies comme les maladies allergiques, les maladies
auto-immunes, les maladies inflammatoires ou certains cancers.
C’est ce que l’on appelle en médecine : l’hypothèse hygiéniste. Donc,
arrêtez les opérations de désinfection et enlevez les masques ainsi que
les combinaisons protectrices ridicules de vos employés qu’on a vues
dans les médias. Faire cela relève de la folie. Les aéroports doivent
aussi arrêter la prise de température ainsi que les quarantaines. Le
SARS-CoV-2 n’est pas la peste noire. Vous aussi, comme les citoyens,
vous avez été manipulés.
19 -
Nous disons aux gouvernements : levez toutes les restrictions et les obligations sur
les citoyens (état d’urgence, port de masque obligatoire, distanciation
sociale, etc) car elles sont stupides et purement dictatoriales et
n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la
santé publique. Il n’y a aucune raison scientifique ou médicale pour
que des citoyens non malades portent un masque. Le Docteur Pascal Sacré,
anesthésiste-réanimateur, a dit : «Obliger tout le monde à les porter
tout le temps, alors que l’épidémie disparaît, est une aberration
scientifique et médicale». Le Professeur Didier Raoult dit : «La
décision du confinement comme la décision des masques…ne reposent pas
sur des données scientifiques…». Les Docteurs Lisa Brosseau et Margaret
Sietsema, expertes en protection respiratoire, disent : «Nous ne
recommandons pas d'exiger du grand public qui ne présente pas de
symptômes de maladie de COVID-19 de porter régulièrement des masques en
tissu ou chirurgicaux car : il n'y a aucune preuve scientifique qu’ils
sont efficaces pour réduire le risque de transmission du SARS-CoV-2…».
Le Professeur Maël Lemoine a précisé aussi que le changement de discours
sur les masques est : «politique, pas scientifique». Dans certains pays
asiatiques, les gens portent des masques toute l’année (pour se
protéger, entre autres, de la pollution). Est-ce que ce port généralisé
des masques dans ces pays leur a évité d’avoir des épidémies de
coronavirus ? Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays
leur évite d’avoir chaque année des épidémies de grippe ou d’autres
virus respiratoires ? La réponse est bien sûr : non. D’autre part, avec
les 8 millions de tonnes de plastique qui sont déjà déversées chaque
année dans les océans, les masques et les gants viennent ajouter une
nouvelle menace et constituent une pollution particulièrement dangereuse
pour notre santé et pour la faune. Rien qu’en Italie, si seulement 1%
des masques actuellement utilisés étaient jetés dans la nature, ce sont
10 millions de masques qui finiraient chaque mois dans l’océan. De plus,
les masques chirurgicaux mettent jusqu’à 450 ans à se décomposer ! Nous
disons donc aux gouvernements : STOP à ces mesures illégales et
dangereuses du port obligatoire du masque.
20 -
Nous disons aux forces de l’ordre : les
citoyens vous doivent beaucoup car vous êtes tous les jours les garants
de leur sécurité et du respect de l’ordre et de loi.
Mais, faire respecter la loi ne veux pas dire se soumettre de manière aveugle à des ordres injustes.
C’est cette erreur qui a conduit à la seconde guerre mondiale et à la
mort de 50 millions de personnes. Nous vous disons donc : faites
respecter la loi mais pas l’injustice et la dictature, refusez d’imposer
ces mesures, refusez de verbaliser vos concitoyens (lorsqu’ils ne
portent pas un masque par exemple), ne les frappez pas, ne les
emprisonnez pas. Ne soyez pas les instruments de la dictature. Soyez du
côté des citoyens et suivez le bel exemple des policiers Américains qui
ont soutenu les citoyens en s’agenouillant avec eux. Nous vous assurons
que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la
préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie.
21 - Nous disons aux citoyens : il faut respecter la loi. Mais, ceci
ne veux pas dire la soumission aveugle à la folie, à l’injustice ou à la
dictature. C’est cette soumission aveugle des citoyens aux lois
injustes qui a conduit à la seconde guerre mondiale avec la mort de 50
millions de personnes. Vous êtes nés libres et vous devez vivre libres,
donc : n’ayez pas peur et si vous n’êtes pas malades : enlevez les
masques, sortez de chez vous comme vous le souhaitez et sans
distanciation sociale, mais faites-le pacifiquement et sans aucune
violence. Les professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson,
épidémiologistes avec une grande expertise dans la médecine basée sur
les preuves, disent : «Il n'y a aucune preuve scientifique pour soutenir
la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité
sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes
pour nous tous».
22 -
Nous disons qu’il faut une réforme totale de l’OMS.
Les succès de l'OMS sont incontestables : des millions de vies ont été sauvées
grâce aux programmes de vaccination contre la variole et la
consommation de tabac a été réduite dans le monde. Mais, le problème
majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée à 80%
par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des
donateurs privés (dont une fondation très connue) et les faits
s'accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des lobbies
pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS
avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide,
aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies
pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes
nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des désastres de l’utilisation
de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les Balkans,
non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts des
entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son efficacité dans
le traitement du paludisme. L’indépendance de l’organisation est
compromise tout à la fois par l’influence des lobbies industriels
-surtout pharmaceutiques- et par les intérêts de ses États membres, en
particulier : la Chine.
Le président d’un pays a dit : «Je pense que l’Organisation Mondiale
de la Santé devrait avoir honte parce qu’ils sont devenus les
porte-paroles de la Chine». L’institution de Genève, qui avait
sous-estimé la menace Ebola (plus de onze mille morts) est de surcroît
accusée de négligence vis-à-vis des maladies tropicales, au profit de
marchés plus juteux. Une enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les
griffes des lobbyistes)19 a livré une édifiante radiographie de l’OMS en
dressant le portrait d’une structure fragilisée, soumise à de multiples
conflits d’intérêts. Cette investigation a montré combien, à l’OMS, les
intérêts privés dominent les enjeux de santé publique. Il n’est pas
acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule
personne et qu’elle soit infiltrée par des lobbies. Récemment, l’OMS
s’est décrédibilisée encore plus en tombant dans le piège du Lancet Gate
alors qu’un simple étudiant aurait découvert la fraude.
À l’époque de la grippe H1N1 : le Docteur Wolfgang Wodarg, président
de la commission santé de l'Assemblée parlementaire du Conseil de
l'Europe, a critiqué l'influence de l'industrie pharmaceutique sur les
scientifiques et les fonctionnaires de l'OMS, déclarant qu'elle a
conduit à la situation où "inutilement des millions de personnes en
bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés" et que,
pour une souche de grippe, elle était "beaucoup moins nocive" que toutes
les épidémies de grippe précédentes.
Il a eu totalement raison puisque, plus tard, le vaccin a fait 1,500
victimes de narcolepsie dont 80% des enfants, comme on va le voir. Il a
aussi reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une "fausse
pandémie", l’a qualifiée de "l’un des plus grands scandales médicaux de
ce siècle" et a demandé l’ouverture d’une enquête.
En effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la sévérité)
ont été modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies pharmaceutiques
afin qu’ils puissent vendre les vaccins aux pays du monde. Selon un
rapport21 de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe sur le
gestion de la grippe H1N1, y compris par l’OMS : «gaspillage de fonds
publics importants et existence de peurs injustifiées relatives aux
risques de santé…De graves lacunes ont été identifiées en ce qui
concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie,
ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que
l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer aux égards des principales
décisions relatives à la pandémie. L’Assemblée craint que ce manque de
transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance des
citoyens dans les avis des grands organismes de santé publique».
L’histoire se répète aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et la
même compagne de peur. L’ancien secrétaire général du département de
santé publique de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à
l’époque de H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît
personne à l’OMS qui s’est fait vacciner, y compris l’ancienne
directrice générale : la Chinoise Margaret Chan
. Bien qu’il soit un haut responsable à l’OMS, il été exclu ainsi que
la plupart de ses collègues d’une réunion entre la directrice générale
et les entreprises pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme
motif : « c’est une réunion privée» …
23 -
Nous disons qu’il faut qu’une enquête soit ouverte et que certains responsables de l’OMS soient interrogés
en particulier celui qui a fait la promotion internationale du
confinement, qui est une hérésie d’un point de vue médical et une
arnaque qui a égaré le monde. En effet, le 25 Février 2020 : le chef de
la mission d’observation internationale du coronavirus en Chine a loué
la réponse apportée par Pékin à l’épidémie23. Il a dit que la Chine a
réussi par des méthodes « à l’ancienne », a souligné que «le monde avait
besoin des leçons de la Chine», qu’il faudrait s’en inspirer et que
s’il avait la COVID-19, il aimerait se faire soigner en Chine ! Une
fois, il a aussi qualifié la Chine24 de « très ouverte » et «très
transparente».
Comment peut-on croire à ces déclarations ? Comment peut-on croire
que s’il avait la COVID-19, il irait se soigner en Chine ? Comment
peut-on croire que le monde doit s’inspirer de la Chine et que la lutte
de l’épidémie doit se faire avec des "méthodes à l’ancienne" ?
Ce qui est hallucinant, c’est qu’il a réussi à faire avaler ses
salades au monde entier. Car malheureusement : depuis ses déclarations
et le rapport qu’il a supervisé (où on peut lire que les méthodes
chinoises sont : "agiles et ambitieuses"), les pays du monde ont mis en
place des mesures disproportionnées et ont suivi aveuglément l’OMS en
confinant leurs populations. La peur et la psychose ont été propagées en
présentant le SARS-CoV-2 comme un virus très dangereux ou à mortalité
massive alors que ce n'est absolument pas le cas.
Heureusement, une interview réalisée avec lui a montré une partie
importante de la vérité et les conflits d’intérêts de l’OMS avec la
Chine lorsqu’une journaliste lui a posé une question sur le refus de
l’adhésion de Taiwan (qui est en conflit avec la Chine) par l’OMS : il a
fait semblant de ne pas entendre la question puis quand cette dernière
lui a été reposée, il a coupé la communication ! (la vidéo a été
visionnée plus de 8 millions de fois)
. C’est lui aussi qui a dit fin Février : «Il n’existe actuellement
qu’un seul médicament duquel nous pensons qu’il pourrait avoir une
réelle efficacité : le remdesivir». Comment peut-il dire cela avant même
la sortie des résultats ? Et pour quelles raisons l’a-t-il dit ?
Des élus Canadiens de la Chambre des communes ont même sommé ce
responsable de l’OMS à comparaître après qu’il eut refusé des
invitations à témoigner devant le comité permanent de la santé. Même, le
chef intérimaire du bParti conservateur Canadien a mis en doute
l’exactitude des données de l’OMS sur la COVID-19. En effet, dire que la
Chine a diminué le nombre de cas ou a bien géré l’épidémie et a aplani
la courbe grâce au confinement est un pur mensonge et n’est basé sur
aucune preuve car personne n’est capable de donner le chiffre du nombre
de cas ou de morts en Chine si elle n’avait pas appliqué le confinement.
En plus, des mois après : le monde a découvert que ces chiffres
n’étaient même pas vrais !
Récemment, trois pays Africains ont expulsé des représentants de
l’OMS parce que, selon certains de ces états, ils falsifiaient le nombre
de cas en les gonflant. Les gens qui sont derrière le confinement, la
psychose et la terreur mondiales,
lorsqu’ils voient la ruée des gens vers les magasins, les gens se
disputer pour des pâtes ou du papier toilette, les distances d’1 mètre
comme si c’était la peste, les gens confinés comme s’ils étaient des
animaux, les rues désinfectées, les policiers frappant les citoyens qui
sortent, les drones et les hélicoptères mobilisés, les gens sortant avec
des attestations, le port de masque malgré la fin de l’épidémie et le
fait que les gens ne soient pas malades, il n’est pas exclu qu’ils
soient en train de rire de la facilité avec laquelle ils ont manipulé
des pays entiers et peut être même qu’ils les traitent de moutons.
La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont
été désinfectées avec de l'eau de javel, des pompiers moustachus et
barbus interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout
(même dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un
train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le masque, des
familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du
corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties
jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de
banque provenant de l'étranger ont été "isolés" !
Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de
folie, de stupidité et de dictature ? Surtout ceux qui se disent
démocratiques. Tout ça pour un virus qui entraîne 85% de formes bénignes
et pour lequel 99% des gens infectés guérissent.
L'OMS a exhorté le monde à copier la réponse de la Chine à la
COVID-19 et elle a réussi ; chaque pays du monde, en suivant aveuglément
l’OMS, est devenu une copie conforme de la Chine. Quelques pays
seulement ont refusé d’imiter bêtement les autres, comme la Suède ou la
Biélorussie qui peuvent être félicités. Le président d’un pays européen a
eu raison de dire : « Il ne s'agit que d'une psychose plus dangereuse
que le virus lui-même ». Des experts de renommée internationale ont
qualifié l’alerte mondiale de « disproportionnée ». Le Professeur
Jean-François Toussaint a dit : « Il me semble que l’OMS a une très
grande responsabilité en n’ayant pas su établir la priorité, en ayant
continué inlassablement à répéter qu’il s’agissait d’une menace pour
l’humanité » (Journal International de Médecine, 13 Juin 2020).
24 -
Nous disons qu’il faut arrêter de suivre aveuglément l’OMS car elle n’est pas une société savante et loin d’être indépendante,
comme on l’a vu. Interrogée sur la raison de la décision de rendre 11
vaccins obligatoires, une ancienne ministre de la santé27 d’un pays
européen a répondu : « C’est une décision de santé publique qui répond,
en fait, à un objectif mondial de l’OMS qui demande aujourd’hui à tous
les pays du monde d’obtenir 95% d’enfants vaccinés pour les vaccins
nécessaires ».
Nous recommandons, aussi, aux gouvernements de bien choisir les
experts qui les conseille et d’éviter ceux qui ont des liens avec les
laboratoires pharmaceutiques ;
Un grand professeur en infectiologie a fait cette remarque sur
certains experts d’un pays européen : « Un membre éminent de la
commission Maladies transmissibles de ce Haut Conseil a ainsi touché
90,741 euros de l’industrie pharmaceutique, dont 16,563 euros de [un
laboratoire pharmaceutique qui produit une molécule concurrente de
l’hydroxychloroquine]. Or c’est ce Haut Conseil qui a rendu le fameux
avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants…je ne vois pas
de trace dans cet avis du respect de la procédure de gestion des
conflits d’intérêts...Si un membre présente un conflit d’intérêts
majeur, il doit quitter la séance et ne pas participer aux débats ni à
la rédaction de l’avis...Or en bas de cet avis, on ne mentionne pas les
conflits d’intérêts ni le nombre de membres qualifiés ayant participé au
vote. C’est un grave manquement au règlement ».
Un ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine a
déclaré : «La profession médicale est achetée par l'industrie
pharmaceutique, non seulement en termes de pratique de la médecine, mais
aussi en termes d'enseignement et de recherche. Les institutions
académiques de ce pays se permettent d'être les agents rémunérés de
l'industrie pharmaceutique. Je pense que c'est honteux». Ceci ne doit
bien sûr pas être généralisé sur tout le monde.
25 - Nous disons aux gouvernements : ne suivez plus -dans les
épidémies- les modélisations mathématiques qui sont des choses
virtuelles sans lien avec la réalité et qui ont égaré le monde à
plusieurs reprises et ont servi de justification aux politiques folles
de confinement. En effet, une université européenne qui a des liens
forts avec l’OMS avait dit que :
-50,000 britanniques seront morts de la maladie de la vache folle alors qu’au final seulement 177 sont décédés.
-la grippe aviaire allait tuer 200 millions de personnes alors que 282 seulement sont décédés.
-la grippe H1N1 allait tuer 65,000 britanniques alors que 457 seulement sont décédés
. Le taux de mortalité a été aussi exagéré alors que la grippe H1N1
s’est révélée finalement beaucoup moins dangereuse, ce qui a incité
beaucoup de gens à d énoncer l'argent, le temps et les ressources
considérables déployés pour une grippe bénigne. À l’époque, la presse a
découvert que le recteur de cette université30, qui a conseillé l’OMS et
les gouvernements, a reçu un salaire de
116,000 £ par an du fabricant de vaccin contre l’H1N1. Et
aujourd'hui, c'est sur la base du même modèle défectueux, développé pour
la planification de la pandémie de grippe, qu'ils ont donné leurs
prévisions astrologiques sur la COVID-19 ; ils ont dit que 500,000
mourront au Royaume-Uni, 2,2 millions aux Etats-Unis, 70,000 en Suède et
entre 300,000 et 500,000 en France ! Qui peut croire ces chiffres fous ?
C’est pour cela que le Professeur Didier Raoult qualifie ces
modélisations de : « forme moderne des divinations ».
Le Professeur John Ashton a également dénoncé ces prédictions
astrologiques et le fait qu’elles aient une sorte de statut religieux.
De plus, la presse a découvert que celui qui, dans cette université, a
incité les gouvernements au confinement ne respecte même pas ce qui leur
préconisait. Là aussi, une enquête mérite, d’être menée auprès de
certains responsables de cette université européenne. Le Professeur Jean-François Toussaint a dit à propos du confinement : «
Il faut à tout prix éviter qu’un quelconque gouvernement ne reprenne un
jour une telle décision. D’autant que l’instrumentalisation de la
pandémie avec des confinements généralisés pour la moitié de l’humanité
n’aura abouti qu’à renforcer les régimes autoritaires et à suspendre les
campagnes de prévention des grandes maladies mortelles. En France, les
simulations estimant que 60,000 vies ont été sauvées sont de pures
fantaisies ». Le fameux slogan international : « Restez chez vous,
sauvez des vies » était une affirmation tout simplement mensongère. Au
contraire, le confinement a tué beaucoup de gens.
26 -
Nous REFUSONS l’obligation vaccinale et nous REFUSONS l’obligation d’un certificat de vaccination contre le coronavirus pour voyager, pour les raisons suivantes :
-Le vaccin n’est pas indispensable car 85% des formes sont bénignes, 99% des
sujets infectés guérissent et les enfants ainsi que les femmes enceintes ne sont pas des sujets à risque. De plus
,
une grande partie de la population est déjà protégée contre le
SARS-CoV-2 grâce à l’immunité croisée acquise avec les coronavirus
saisonniers
.
Dire qu’on n’en est pas sûr est UN MENSONGE et
émettre des doutes sur la durée ou l’efficacité de cette protection est
une manipulation visant à protéger le business plan du vaccin.
-C’est un virus à ARN, donc plus propice à des mutations et le vaccin risque d’être inefficace.
-Des essais de vaccin sont réalisés dans la précipitation34 et
certains appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer
des habituels essais sur les animaux, ce qui est risqué. Tester les
vaccins sans prendre le temps de bien comprendre les risques pour la
sécurité pourrait entraîner des revers injustifiés pendant la pandémie
et à l'avenir.
-Les précédents essais de vaccins contre les coronavirus sont
inquiétants : en 2004, l'un des vaccins mis au point contre le SRAS
avait provoqué une hépatite chez les animaux sur lesquels il avait été
testé. Un autre vaccin en phase de test avait causé de graves lésions
pulmonaires aux animaux de laboratoire, les rendant plus fragiles à de
futures infections. Des vaccins développés contre un autre coronavirus,
le virus de la péritonite infectieuse féline, augmentaient le risque
pour les chats de développer la maladie causée par le virus. Des
phénomènes similaires ont été observés dans des études animales pour
d'autres virus, y compris le coronavirus qui cause le SRAS.
-Certains vaccins sont testés par des entreprises qui n’ont aucune
expérience dans la fabrication et la commercialisation des vaccins et
qui utilisent des technologies nouvelles en médecine dont on ne connaît
ni les bénéfices ni les risques pour la santé. -La recherche de profit
financier de nombreuses entreprises pharmaceutiques aux dépens de la
santé des populations (sans généraliser bien sûr sur la totalité).
Le patron d’une entreprise pharmaceutique a dit devant ses
actionnaires lors de la grippe H1N1 : « Ce vaccin, ça sera une
opportunité significative en termes de revenus. C’est un joli coup de
fouet pour nous, pour le chiffre d’affaires et pour le cash flow ».
L’ancien ministre de la santé d’un pays européen a déclaré le 23 Mai
2020 : « Quand il y a une épidémie comme le COVID, nous on voit :
mortalité, quand on est médecin,…ou on voit : souffrance. Et il y a des
gens qui voient : dollars…vous avez des grands laboratoires qui disent :
c’est le moment ou jamais de gagner des milliards ».
Le 16 Juin 2020, le Professeur Christian Perronne, spécialiste des
maladies infectieuses, a dit sur Sud Radio à propos du vaccin contre le
coronavirus : « On n’en a aucun besoin…Tout ça, c’est une histoire
purement commerciale ». Le site internet
du magazine Nexus a publié le 07 Août l’avis du Docteur Pierre Cave
qui dit : « L’épidémie est terminée en France…en tant que médecin, je
n’hésite pas à anticiper les décisions du gouvernement : Il faut non
seulement refuser ces vaccins [contre la COVID-19], mais dénoncer et
condamner la démarche purement mercantile et le cynisme abject qui ont
guidé leur production ».
-Les violations éthiques scandaleuses dans de nombreux essais
cliniques : comme les pays occidentaux ne leur permettent pas de violer
les principes éthiques, de nombreux laboratoires pharmaceutiques (sans
généraliser sur la totalité) réalisent leurs essais cliniques de
médicaments et de vaccins dans les pays en développement ou pauvres où
des expériences sont menées sur des gens sans qu’ils en aient la moindre
connaissance et sans leur consentement. Le rapport36 rédigé par Irene
Schipper (SOMO briefing paper on ethics in clinical trials) a montré des
manquements éthiques choquants et très graves ; dans un essai clinique,
par exemple, des femmes Africaines ont contracté le VIH et sont
devenues ensuite malades du SIDA. Cet essai clinique a été financé par
une fondation ainsi qu’un laboratoire très connus. Dans certains pays,
ces essais cliniques scandaleux ont été accomplis avec la complicité des
autorités locales sur fond de conflits d’intérêts.
-Une entreprise pharmaceutique : AstraZeneca a conclu un accord avec
plusieurs pays qui lui permet d’obtenir l’immunité de toute plainte
légale, au cas où le vaccin devait finalement montrer des effets
secondaires nocifs. En d’autres termes, ce sont les états et pas
AstraZeneca qui indemniseront les victimes, c’est-à-dire avec l’argent
des citoyens ! À ce propos, nous disons aux citoyens : Protestez
MASSIVEMENT contre cet accord scandaleux, honteux et profondément
injuste jusqu’à ce qu’il soit supprimé. Il faut refuser cette
utilisation IRRESPONSABLE de votre argent. Même des experts Belges ont
été « choqués » par cet accord.
-Les scandales des vaccins dangereux voire mortels élaborés en
période d’épidémie et on va citer deux exemples (nous ne sommes,
évidemment, pas des anti-vaccins puisque ça signifie remettre en cause
les découvertes d’Edward Jenner) :
Le scandale du vaccin contre l’H1N1 : il a été testé sur un faible
nombre de personnes et malgré cela, il a été commercialisé comme étant
sûr en 2009. Mais, un an après, des inquiétudes ont été exprimées en
Finlande et en Suède concernant une éventuelle association entre la
narcolepsie et le vaccin. Une étude de cohorte ultérieure en Finlande a
signalé un risque 13 fois plus élevé de narcolepsie après la vaccination
chez les enfants et les jeunes âgés de 4 à 19 ans, dont la plupart des
cas étaient apparus dans les trois mois suivant la vaccination et
presque tous dans les six mois. Il a fallu attendre 2013 pour qu’une
étude publiée dans le British Medical Journal confirme ces résultats
pour la Grande Bretagne, aussi. Au total, ce vaccin dangereux a entraîné
1,500 cas de narcolepsie rien qu’en Europe et 80% des victimes sont des
enfants. Une partie du personnel médical du NHS vacciné a été touchée
aussi par la narcolepsie.
La narcolepsie est une maladie neurologique chronique et incurable où
les patients s’endorment de façon incontrôlable, ils subissent des
accès brusques de sommeil de quelques minutes qui surviennent n’importe
où et n’importe quand dans la journée (somnolence diurne) et ils sont
victimes aussi de crises impressionnantes de cataplexie (brusque
relâchement du tonus musculaire engendré par une émotion forte comme un
éclat de rire, de colère ou de surprise. Cela peut provoquer une
faiblesse au niveau des genoux, une impossibilité à articuler ou parfois
même une chute pendant quelques secondes). Elle endommage la fonction
mentale et la mémoire et peut entraîner des hallucinations et des
maladies mentales.
Peter Todd, un avocat qui représentait bon nombre des plaignants,
déclarait au Sunday Times : "Il n'y a jamais eu de cas comme celui-là
auparavant. Les victimes de ce vaccin sont incurables et à vie et auront
besoin de nombreux médicaments". Parmi les enfants victimes du vaccin :
Josh Hadfield (huit ans), qui prend des médicaments antinarcolepsie
coûtant 15,000 £ par an pour l'aider à rester éveillé pendant la journée
à l’école. "Si vous le faites rire, il s'effondre. Sa mémoire est
abattue. Il n'y a pas de remède. Il dit qu'il souhaite qu'il ne soit pas
né. Je me sens incroyablement coupable duré 7 ans pour obtenir gain de
cause en justice. Et au lieu que ça soit le laboratoire pharmaceutique
qui les indemnise, c’est les états qui l’ont fait, c’est-à-dire avec
l’argent du citoyen !
Le scandale du vaccin mortel contre la dengue dans un pays asiatique,
en 2018 : Selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants
sont décédés à la suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades.
Certains ont besoin
d'opérations, pour résorber le sang après des hémorragies sévères. La
plupart des familles n'en ont pas les moyens. Pour la procureure, les
responsabilités se
partagent entre le laboratoire qui a vendu "un vaccin dangereux" et
le gouvernement qui a mis en place une campagne de vaccination "massive
et indiscriminée", dans des conditions déplorables. Le docteur Erwin
Erfe, qui travaillait pour le bureau du procureur, pratiquait des
autopsies d'enfants deux à trois par semaine avec toujours les mêmes
résultats : "Des hémorragies internes, notamment au niveau du cerveau et
des poumons…et des organes enflés". Ce vaccin s'annonçait pourtant
comme un triomphe planétaire ; en 2015, le laboratoire confirmait en
grande pompe la mise sur le marché d'un vaccin révolutionnaire contre la
dengue. C'était une première mondiale, le produit de vingt ans de
recherche et 1,5 milliard d'euros d'investissements. Pourtant dès le
début, des voix se sont élevées dans la communauté scientifique :
Le docteur Antonio Dans a tenté d'alerter sur les résultats non
concluants des premiers essais cliniques. Aux Etats-Unis, le Professeur
Scott Halstead, un spécialiste mondialement reconnu de la maladie, qui
s'inquiétait, a même envoyé une vidéo diffusée au Sénat du pays en
question pour l’exhorter à suspendre le programme de vaccination.
L'ancienne ministre de la Santé du pays en question a été inculpée dans
ce scandale.
"C'est l'appât du gain, qui a tué ces enfants", estime la procureure Persida Acosta.
Nous disons : STOP à toutes ces mesures folles, dictatoriales et
sûrement pas sanitaires et à cause desquelles des drames se produisent
chaque jour : une adolescente s’est suicidée en Grande Bretagne parce
que le confinement pour elle durait 300 ans 41, une femme enceinte a
souffert le martyre lors de son accouchement en France, un adolescent
aux États-Unis nécessitera une intervention chirurgicale après avoir été
agressé par un couple à qui il a demandé de porter le masque, une
infirmière a également été agressée en France et un chauffeur de bus est
même mort à cause aussi de ces mesures illégales du port obligatoire de
masques, 60,000 patients cancéreux risquent de décéder en Angleterre à
cause des retards de diagnostic et de traitement selon le Professeur
Karol Sikora, 12,000 personnes dans le monde risquent de mourir chaque
jour de la faim (selon Oxfam), le nombre d’arrêts cardiaques a été
multiplié par deux dans certains pays, des entreprises tombent en
faillite, 305 millions d’emplois à plein temps sont détruits - touchant
particulièrement les femmes et les jeunes- selon l’organisation
internationale du travail, un homme est mort à cause du masque aux
Etats-Unis,etc. Même les oiseaux souffrent de ces mesures dangereuses et
se retrouvent piégés et tués à cause des masques : «Le pauvre animal
trébuchait et tombait sans cesse, les élastiques du masque s’étaient
resserrés autour de ses pattes, dont les articulations étaient gonflées
et le faisaient souffrir…J’ai bien peur que ce goéland soit la première
d’une longue série de victimes», ont déclaré des employés de la société
royale pour la prévention de la cruauté animale, à la BBC le 20 Juillet
et l’oiseau a subi ce supplice pendant une semaine ! Il faut préciser
aussi que la cause initiale et première du drame de George Floyd est le
confinement : s’il n’y avait pas de confinement, il n’aurait pas perdu
son emploi, il aurait été le 25 Mai à son travail, il n’aurait pas été
assassiné, les pillages de magasins et les incendies comme les
affrontements avec la police ne se seraient jamais produits, le chaos
aux Etats-Unis aurait été évité et George Floyd serait aujourd’hui
encore vivant parmi nous.
27 - Nous disons aux gouvernements : TOUT doit revenir immédiatement à
l’état normal (y compris la ré-ouverture des services hospitaliers, du
transport aérien, de l’économie, des écoles et des universités) et cette
prise d’otages mondiale doit cesser car vous avez su, preuves à
l’appui, que vous comme les citoyens, vous avez été victimes de la plus
grande arnaque sanitaire du 21e siècle. Le professeur Carl Heneghan a
déclaré le 23 août que la peur qui empêche le pays de revenir à la
normale n'est pas fondée, selon l'Express. Les Professeurs Karina Reiss
et Sucharit Bhakdi ont sorti, en Juin, un livre appelé : «Corona :
fausse alarme ?». Le maire d’une ville en Europe a déclaré : «Le climat
diffusé sur [le sujet du coronavirus] est particulièrement lourd et
devient suspect». Le Docteur Olivier Chailley a écrit un livre intitulé :
«Le virus de la peur ou comment le monde entier est devenu fou».
Le Professeur Sucharit Bhakdi (qui a écrit, aussi, une lettre à
Angela Merkel) a dit à propos des mesures prises, y compris celles du
confinement : "mesures grotesques, absurdes et très dangereuses...un
impact horrible sur l'économie mondiale...autodestruction et suicide
collectif…". Une enquête internationale et indépendante doit être
ouverte et les responsables doivent être jugés.
28 - Nous disons aux citoyens : pour vous maintenir dans le troupeau,
il est possible que certains vont essayer de nous discréditer par tous
les moyens, par exemple en nous accusant de conspirationnistes ou de
complotistes, etc. Ne les écoutez pas, ce sont des MENTEURS car les
informations qu’on vous a données sont : médicales, scientifiques et
documentées.
29 - Nous disons aux citoyens : cette lettre ne doit pas vous pousser
à la violence envers qui que ce soit. Réagissez pacifiquement. Et si un
professionnel de santé signataire de cette lettre sera attaqué ou
diffamé ou menacé ou persécuté : soutenez-le MASSIVEMENT. Chers citoyens
: beaucoup de scientifiques, d’éminents professeurs de médecine et de
professionnels de santé à travers le monde ont dénoncé ce qui se passe
et il est temps de vous réveiller ! Si vous ne dites rien, de nouvelles
mesures dictatoriales « made in China » seront imposées. Vous devez
REFUSER ça. Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la
médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de
la folie. Le Docteur Anders Tegnell a dit : « Le monde est devenu fou »
en mettant en place les confinements qui « vont à l'encontre de ce que
l'on sait sur la gestion des pandémies de virus ».
30 - Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être
forts et courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous
rejoindre dans le collectif : United Health Professionnals et à signer
cette lettre en envoyant les 4 informations suivantes :
prénom, nom, profession et pays à :
join.unitedhealthprofessionals@gmail.com La liste des signataires sera mise à jour régulièrement.
Albert Einstein disait : "le monde ne sera pas détruit par ceux qui
font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire".
Signataires
Professor Martin Haditsh, microbiology, infectious disease and tropical medicine specialist, Austria
Ghislaine Gigot, general practitioner, France
François Pesty, pharmacist, France
Catherine Raulin, general practitioner, France
Laurent Hervieux, general practitioner, France
Geneviève Magnan, nurse, France
Jean-Pierre Eudier, dental surgeon, Luxembourg
Andrée Van Den Borre, dental surgeon, Belgium
Mauricio Castillo, anesthesiologist and intensive care physician, Chile
Marie-Claude Luley-Leroide, general practitioner, France
Daniele Joulin, general practitioner, France
Mohamed Zelmat, clinical biologist, France
Nadine Blondel, nurse, France
Hélène Banoun, clinical biologist, France
Estelle Ammar, speech therapist, France
Caroline Durieu, general practitioner, Belgium
Doris Stucki, psychiatrist, Switzerland
Jessica Leddy, licensed acupuncturist, United States of America
Fabien Quedeville, general practitioner, France
Michel Angles, general practitioner, France
Dominique Carpentier, general practitioner, France
Pierre Brihaye, ear, nose and throat specialist, Belgium
Elizabeth Luttrell, certified nursing assistant, United States of America
Tasha Clyde, nurse, United States of America
Walter Weber, internal medicine and oncology specialist, Germany
Professor Pierre-Francois Laterre, anesthesiologist and intensive care physician,
Belgium
Sylvie Lathoud, clinical psychologist, France
Karim Boudjedir, hematologist, France
Caroline Heisch, osteopath, France
Eric Blin, physiotherapist, France
Vincent Schmutz, dental surgeon, France
Zieciak WB, ears nose and throat surgeon, South Africa
Virginie Merlin, nurse, Belgium
Gabriel Brieuc, anesthesiologist, Belgium
Marie-José Eck, general practitioner, France
Patricia Grasteau, nursing assistive personnel, France
Christine Villeneuve, psychotherapist, France
Philippe Voche, plastic surgeon, France
Gérard Bossu, osteopath, France
Elaine Walker, emergency medicine physician, United States of America
Richard Amerling, nephrologist, United States of America
Phil Thomas, general practitioner, South Africa
Manfred Horst, allergologist and immunologist, France
Sybille Burtin, public health physician, France
Chantal Berge, nurse, France
Denis Agret, emergency medicine and public health physician, France
Mélanie Dechamps, intensive care physician, Belgium
Prosper Aimé Seme Ntomba, dental surgeon, Cameroon
Sandrine Lejong, pharmacist, Belgium
Professor Jan Zaloudik, surgical oncology, Czech Republic
Cerise Gaugain, midwife, France
Delphine Balique, midwife, France
Marion Campo, midwife, France
Olivier Chailley, cardiologist, France
Johan Sérot, physiotherapist, France
Arlette Fauvelle, pharmacist, Belgium
Farooq Salman, ear, nose and throat specialist, Irak
Olga Goodman, Rheumatologist, United States of America
Pascal Leblond, nurse, France
Sybille Morel, nurse, France
Marie-Thérèse Nizier, physiotherapist, France
Graziella Mercy, nurse, France
Pierre Maugeais, general practitioner, France
Carrie Madej, internal medicine specialist, United States of America
Victor Gomez Saviñon, cardiac surgeon, Mexico
Martin Boucher, nurse, Canada
Evelyne Nicolle, pharmacist, France
Agnès Dupond, general practitioner, France
Azad Mitha, general practitioner, France
Ines Heller, physiotherapist, France
Marie Laravine, nurse, France
Khaleel Kareem, anesthesiologist and intensive care physician, Irak
Tonya Davis, certified nursing assistant, United States of America
Mary Baty, dental hygienist, United States of America
Luis Angel Ponce Torres, physician, Peru