La nouvelle tombée vendredi est significative. A l’issue d’une journée d’audition par trois juges d’instruction, la Cour de justice de la République (CJR) a mis en examen, vendredi 10 septembre, l’ancienne ministre des solidarités et de la santé, Agnès Buzyn (...)
La Cour de justice de la République (CJR) est la seule instance habilitée à juger des ministres pour les faits accomplis durant leur mandat.(...)
On attend la réaction de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) où a été recasée Agnès Buzyn après son échec à conquérir la Mairie de Paris.
Cette mise en examen d’Agnès Buzyn tombe à pic pour donner raison à Cassandre Fristot à quelques semaines du jugement de celle-ci. La présence du nom d’Agnès Buzyn sur la pancarte brandie par Cassandre Fristot pour désigner les “traîtres” qui ont agi contre l’intérêt des populations dans la gestion du Covid-19 s’avère parfaitement légitimée par cette mise en examen de l’ex-ministre.